Pour faciliter d’éventuelles recherches annexes, chaque site, institution ou individu retenu est ici cité tel qu’il apparaît sur le web, d’où une inévitable incohérence dans le système de transcription de l’arabe. La majorité des pages étant en anglais, la langue ne sera mentionnée qu’en cas de présence de l’arabe, du français ou d’autre.
Une première édition de ce guide avait paru dans Maghreb-Machrek, n° 165, juillet-septembre 1999, p. 77-109. Une deuxième édition (http://www.ladocumentationfrancaise.fr/servurl/palestine) dotées des mises à jour avait été mise en ligne en avril 2000 sur le site de la Documentation française ; elle a maintenant disparu.
À partir de cette troisième et nouvelle édition, accessible à partir de juillet 2001 sur le site de la MOM, les corrections sont périodiquement mises en ligne.
Depuis septembre 2000 avec l’intifada Al-Aqsa, la lutte israélo-palestinienne s’est emparée du net ; l’internaute pourra visiter, côté palestinien, Hakers Palestine www.geocities.com/hakerzpalestine/ , www.h4palestine.com/, www.palhackerz.com) (arabe) et, côté israélien, Internet Haganah (http://haganah.us/haganah/index.php).
Certaines adresses ici signalées sont ainsi périodiquement l’objet d’attaques, rendues indisponibles ou redirigées vers des sites pornographiques ou commerciaux. Les pages disparues pourront souvent être retrouvées soit, pour les plus récentes, dans le cache du moteur de recherche Google (www.google.fr) (il suffit, dans les références, de cliquer non pas sur le titre du document recherché mais sur le lien "copie cachée") soit sur la Wayback machine (www.archive.org) mise en œuvre à l’université de Berkeley (Californie) depuis octobre 2001 qui, grâce à des "clichés" périodiques, revendique l’archivage de quelque 10 milliards de pages.